radiateur en forme de maison avec des pièces de monnaie
radiateur en forme de maison avec des pièces de monnaie
  1. 1. Le cadre réglementaire et économique : facteurs déterminants des coûts en 2025-2026
  2. 2. Les tendances par source d'énergie pour l'hiver 2025-2026
  3. 3. Stratégies du consommateur pour maîtriser le budget hivernal 2025-2026
  4. 4. Conclusion : l'hiver 2025-2026, catalyseur de la transition énergétique

Le marché de l'énergie présente un tableau complexe et contrasté pour la fin de l'année 2025 et le début de 2026. Cette période charnière, englobant la saison de chauffe principale, est marquée par une baisse notable des coûts de l'électricité d'une part, et une hausse progressive du gaz naturel d'autre part. Cette dynamique, influencée par des facteurs économiques globaux et des ajustements réglementaires nationaux, force les consommateurs à évaluer méticuleusement leurs stratégies d'optimisation des coûts énergétiques.

L'objectif de cet article est de décortiquer les tendances qui impacteront directement votre budget chauffage. Nous analyserons les ajustements gouvernementaux, les facteurs de volatilité propres à chaque énergie (électricité, gaz, fioul, et renouvelables), et nous offrirons une perspective détaillée sur le choix du mode de chauffage le plus judicieux pour votre foyer ou votre entreprise.

personne qui fait des calculs de ses économies

Le cadre réglementaire et économique : facteurs déterminants des coûts en 2025-2026

L'évolution des tarifs énergétiques n'est jamais le fruit du hasard. Elle résulte d'une interaction complexe entre les marchés de gros internationaux, les politiques gouvernementales et les impératifs de transition écologique. L'hiver 2025-2026 est particulièrement intéressant, car il marque une période de relative accalmie après les turbulences des années précédentes, mais il est également structuré par des décisions réglementaires majeures.

Les mouvements du marché global et leur impact local

Plusieurs éléments macroéconomiques contribuent à la formation des prix à la consommation :

  • L'apaisement de la demande et l'offre rétablie : le marché de l'énergie connaît une période de stabilisation. La demande énergétique, notamment industrielle, a été mieux maîtrisée après les chocs récents. Simultanément, la production, notamment nucléaire, a montré des signes de reprise et d'amélioration de la disponibilité, ce qui diminue la dépendance aux importations et aux prix spot.
  • Le rôle croissant des énergies renouvelables : l'augmentation des capacités de production d'énergies renouvelables (éolien, solaire) injecte davantage d'électricité à coût marginal faible sur le réseau. Cette puissance renouvelable contribue à modérer la tension sur le marché de gros de l'électricité, même en période de forte demande hivernale.
  • La volatilité persistante du gaz : contrairement à l'électricité, le gaz naturel reste soumis à une forte dépendance géopolitique. Les stocks européens ont atteint des niveaux sécurisants, mais toute perturbation dans les chaînes d'approvisionnement mondiales peut engendrer des vagues de prix qui se répercutent sur le consommateur avec un léger décalage, impactant directement l'hiver.

Les ajustements fiscaux et réglementaires gouvernementaux

Le gouvernement a mis en place des ajustements tarifaires significatifs qui modèlent la structure de la facture énergétique pour 2026. Ces changements, souvent liés à des mises en conformité européennes ou à des besoins de rééquilibrage des finances publiques, ont des effets contraires sur les différentes composantes du prix :

  • La révision de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) : Un élément majeur est le passage de la TVA sur l'abonnement électrique d'un taux réduit à un taux normal. Cette hausse, bien que ciblée sur l'abonnement, contribue à alourdir la part fixe de la facture. Elle découle d'une obligation d'uniformisation du droit européen qui considère l'abonnement et la consommation comme un service unique.
  • L'ajustement de l'accise sur l'électricité (Ex-TICFE) : Pour compenser l'effet de la hausse de la TVA sur l'abonnement, l'accise (une taxe sur la consommation d'électricité) a été révisée à la baisse. Ce mouvement vise à maintenir une certaine stabilité globale pour les ménages et à éviter un choc tarifaire immédiat.
  • L'évolution du TURPE : Le Tarif d'Utilisation des Réseaux Publics d'Électricité (TURPE) est revu périodiquement. Après une augmentation exceptionnelle en début d'année, il connaît une phase de réduction. Le TURPE est crucial puisqu'il finance l'entretien et le développement des réseaux de transport et de distribution (gérés par des entités comme Enedis et RTE). Son évolution impacte directement la composante "acheminement" de la facture.

Le processus de détermination du tarif réglementé de vente (TRVE)

Il est essentiel de comprendre que le niveau moyen des Tarifs Réglementés de Vente de l'électricité (TRVE) n'est pas arbitraire. Il est calculé selon la méthodologie dite de l'empilement des coûts, qui repose sur trois piliers fondamentaux :

  • Le Coût d'Approvisionnement : achat de l'électricité sur les marchés (environ 40% du TRVE).
  • Le TURPE : coût d'acheminement et de distribution (environ 30% du TRVE).
  • Les Taxes : accise, CTA (Contribution Tarifaire d'Acheminement) et TVA (environ 30% du TRVE).

C'est la Commission de Régulation de l'Énergie (CRE), en tant qu'autorité indépendante, qui propose aux ministres de l'Économie et de l'Énergie les évolutions des TRVE. La stabilité des prix observée fin 2025 résulte d'un mécanisme de compensation où la baisse sur l'approvisionnement et le TURPE neutralise la hausse fiscale. L'équilibre recherché vise à réduire la charge sur les finances publiques (après l'important bouclier tarifaire des années précédentes) pour la transférer progressivement vers le consommateur, tout en encourageant l'efficacité énergétique.

radiateur électrique branché à une prise électrique murale

Les tendances par source d'énergie pour l'hiver 2025-2026

L'impact de ces facteurs varie considérablement selon le mode de chauffage utilisé. Une analyse détaillée permet de dégager les gagnants et les perdants de la saison de chauffe.

L'électricité : baisse de la consommation, hausse de l'abonnement

Le chauffage électrique bénéficie de la tendance générale à la baisse des tarifs de l'électricité. C'est une nouvelle encourageante qui se maintiendra sur l'hiver 2025-2026.

Analyse de la baisse du coût énergétique :

  • La réduction substantielle du prix du kilowattheure (kWh) est le fait marquant. Elle résulte principalement de la baisse d'ampleur du coût d'approvisionnement sur le marché de gros. Les prix sont revenus à des niveaux plus normaux après les extrêmes de la crise énergétique. Cette diminution est favorable à tous les ménages, mais elle est particulièrement avantageuse pour les foyers tout électriques dont la consommation est élevée, car l'économie se multiplie avec le volume.

L'impact des coûts fixes (abonnement) :

  • Malgré la baisse du prix du kWh, il faut noter la hausse sur le prix de l'abonnement, due à l'augmentation de la TVA. Pour les petits consommateurs ou les résidences secondaires, cette hausse relative de la part fixe peut tempérer l'économie réalisée sur la consommation. Cependant, pour un foyer moyen avec une consommation standard, la baisse sur le prix du kWh compense largement cette augmentation des coûts fixes, résultant en une économie globale.

La résilience du système :

  • La baisse significative du prix des garanties de capacité pour 2025-2026 est un indicateur clé. Les garanties de capacité sont un mécanisme par lequel les producteurs d'électricité reçoivent une rémunération pour assurer la disponibilité des moyens de production lors des pics de consommation. Leur prix réduit indique que les autorités estiment le système électrique plus robuste et moins tendu durant l'hiver, même par grand froid.

Conseil aux consommateurs électriques :

Les clients ayant des contrats à prix fixe ne bénéficient pas de la baisse immédiate du prix du kWh. Il leur est conseillé de vérifier si la reconduction de leur contrat pour 2026 est judicieuse face aux offres indexées sur les tarifs réglementés, qui profitent de la conjoncture favorable. Le maintien des options tarifaires avantageuses (heures pleines/heures creuses) reste pertinent pour optimiser la consommation durant les périodes où le coût du kWh est le plus faible.

une personne qui manipule le thermostat d'un radiateur électrique

Le gaz naturel : poursuite de la hausse modérée

Le marché du gaz naturel est orienté différemment de l'électricité. Il subit une hausse progressive mais continue qui se fera sentir sur les factures de l'hiver 2025-2026.

Les facteurs de la progression tarifaire :

Cette augmentation s'explique par deux principaux facteurs :

  • L'évolution du marché de gros : bien que l'Europe ait sécurisé ses approvisionnements, le marché de gros maintient une certaine pression à la hausse, qui se répercute sur les prix.
  • L'augmentation de l'ATRD : la Commission de régulation de l'énergie a annoncé une augmentation significative du tarif d'acheminement du gaz (ATRD), qui est le coût que les fournisseurs doivent payer pour accéder aux réseaux de distribution (gérés notamment par GRDF). Cette hausse, liée à l'inflation et aux investissements nécessaires pour maintenir le réseau, se répercute sur la facture finale du consommateur.

Ajustements fiscaux et TVA :

Comme pour l'électricité, la TVA sur l'abonnement de gaz passe au taux normal. Pour compenser, l'accise sur le gaz a été temporairement abaissée. Cependant, ces mouvements compensatoires n'empêchent pas la tendance générale du coût du gaz de rester orientée à la hausse pour la période hivernale.

AMÉLIOREZ VOTRE
SYSTÈME DE CHAUFFAGE

Découvrez les solutions

L'importance des zones géographiques :

Contrairement à l'électricité, le prix du gaz naturel à la consommation varie selon la zone géographique (historiquement divisée en six zones tarifaires). Cette variation reflète les coûts d'acheminement du gaz depuis les points d'échange jusqu'au consommateur final. Les foyers situés dans des zones éloignées ou plus difficiles d'accès paient proportionnellement plus cher pour l'acheminement, ce qui accentue l'impact des hausses de l'ATRD. Les consommateurs doivent rester vigilants sur la grille tarifaire appliquée par leur fournisseur, car certains peuvent proposer un prix unique qui atténue ou, au contraire, masque ces différences régionales.

Prospective pour 2026 :

La question du gaz est cruciale. Avec la fin programmée des tarifs réglementés de vente du gaz, les consommateurs sont contraints de choisir une offre de marché. La poursuite des hausses conforte la pertinence des offres à prix fixe pour le gaz, qui permettent de sécuriser le budget de chauffage pour toute la saison hivernale, en le protégeant de l'instabilité anticipée.

Le fioul domestique : volatilité, coût élevé et déclin programmé

Le fioul domestique est l'énergie la moins favorisée par les tendances actuelles. Il est caractérisé par une volatilité extrême et un coût élevé, le rendant de moins en moins compétitif.

Facteurs d'instabilité :

  • Le prix du fioul est directement indexé sur le cours du pétrole brut, une matière première notoirement soumise aux tensions géopolitiques (Moyen-Orient), aux décisions de production des cartels (OPEP+) et aux fluctuations de la devise américaine (le dollar). Ces facteurs rendent le prix du fioul imprévisible et susceptible de pics au cœur de l'hiver.

Le déclin irrémédiable :

  • Au-delà du coût, le fioul est confronté à des contraintes réglementaires fortes. Sa disparition est programmée à court terme (échéance 2028) dans le cadre des objectifs de décarbonation. Les installations de générateurs neufs au fioul sont déjà largement interdites. Les foyers utilisant encore cette énergie sont fortement incités à se tourner vers des solutions plus écologiques et plus stables financièrement.

Le biocombustible : une alternative incertaine :

  • L'émergence des biocombustibles liquides (comme le biofioul F30, mélange à base de colza) est une tentative de transition. Cependant, ces alternatives restent plus coûteuses que le fioul fossile, ce qui limite leur attrait immédiat malgré leur moindre impact environnemental.

Conseil pratique :

L'hiver 2025-2026 doit être perçu comme une période de planification de transition pour les utilisateurs de fioul. Les dispositifs d'aide à la conversion sont essentiels à considérer dès maintenant.

Les énergies renouvelables : stabilité et compétitivité à long terme

Les solutions basées sur les énergies renouvelables (EnR) représentent la réponse la plus cohérente aux impératifs économiques et écologiques actuels.

Le bois énergie (granulés et bûches) :

  • Après une flambée des prix des granulés due à la crise énergétique, le marché affiche une stabilité retrouvée. Cette stabilisation est le fruit d'une augmentation des capacités de production françaises. Le bois énergie, en particulier les granulés, demeure l'une des solutions de chauffage les plus compétitives en coût du kWh, offrant une prévisibilité tarifaire.

La pompe à chaleur (PAC) :

  • La PAC (Air/Eau ou Air/Air) bénéficie directement de la baisse des tarifs de l'électricité, car elle utilise l'électricité pour son fonctionnement. Son efficacité énergétique (un faible apport électrique pour une grande quantité de chaleur produite) en fait le système de chauffage central le plus économique en coût d'exploitation pour l'hiver 2025-2026. L'investissement initial, bien que conséquent, est amorti rapidement grâce aux économies réalisées sur la facture énergétique.

Le solaire photovoltaïque et thermique :

  • L'énergie solaire poursuit une tendance de fond à la baisse de ses coûts d'installation, rendant les systèmes de production d'électricité ou d'eau chaude de plus en plus accessibles. Les systèmes solaires offrent une protection contre la hausse des prix de l'électricité et du gaz, car l'énergie produite est gratuite après l'amortissement.

La rentabilité prospective :

  • Les experts s'accordent à dire que le marché des EnR est moins volatil et offre une meilleure visibilité à long terme que les énergies fossiles. Bien que l'investissement initial soit nécessaire, la rentabilité est assurée sur la durée de vie de l'installation (souvent plusieurs décennies).
jeune homme qui prend une posture de questionnement

Stratégies du consommateur pour maîtriser le budget hivernal 2025-2026

Face à ces tendances contrastées, la stratégie du consommateur est primordiale pour optimiser les dépenses de chauffage.

Le choix crucial entre offres à prix fixe et prix indexé

La distinction entre ces deux types de contrats n'a jamais été aussi importante :

  • L'offre à prix fixe : elle garantit une stabilité totale du prix du kWh (hors taxes) sur une durée déterminée (souvent 1 à 3 ans). C'est le choix de la sécurité maximale. Il est particulièrement recommandé pour le gaz naturel en 2025-2026, car il protège contre la hausse anticipée. L'inconvénient est que le consommateur ne profite pas des baisses du marché.
  • L'offre à prix indexé : elle suit l'évolution du tarif réglementé. Elle est souvent plus basse au départ et permet de bénéficier des baisses du marché. Elle est plus avantageuse pour l'électricité dans le contexte actuel de baisse du coût d'approvisionnement. Le risque est l'exposition à une volatilité importante si les marchés venaient à se tendre à nouveau.

Conseil personnalisé :

La décision doit être prise en fonction de votre profil de risque et de l'énergie concernée. Pour le gaz, sécurisez. Pour l'électricité, profitez de la conjoncture favorable, sauf si vous avez une aversion totale au risque.

L'optimisation énergétique et la performance du logement

L'ajustement des tarifs ne peut compenser une mauvaise performance énergétique du logement. Les économies les plus importantes restent celles qui ne sont pas faites :

  • Régulation intelligente : l'installation d'un système de régulation performant, comme un thermostat OpenTherm, permet de moduler précisément la puissance du générateur. Cette modulation réduit la consommation de combustible en évitant les surchauffes et les cycles d'allumage/extinction inutiles.
  • Isolation : le véritable bouclier tarifaire réside dans l'isolation du logement. Réduire les déperditions de chaleur est le moyen le plus efficace et durable pour diminuer la facture de chauffage, quel que soit le prix du kWh.
  • Remplacement des équipements : le remplacement d'un ancien générateur peu performant (chaudière basse température, convecteurs électriques anciens) par un équipement moderne et à haut rendement (chaudière à condensation, pompe à chaleur) génère des économies de l'ordre de 20 à 40 %.

Utiliser les outils de comparaison et l'aide publique

La fin des tarifs réglementés (pour le gaz) et la complexité des offres imposent de comparer les fournisseurs.

  • Comparateurs indépendants : utiliser des outils neutres, comme le comparateur du médiateur national de l'énergie, est essentiel pour évaluer le coût annuel réel des différentes offres selon votre profil de consommation.
  • Aides à la rénovation : les dispositifs d'incitation gouvernementaux (primes, aides pour la rénovation énergétique) restent des leviers financiers majeurs. Ils permettent de réduire significativement le coût initial d'investissement dans des solutions comme la pompe à chaleur, la biomasse ou l'isolation, rendant ces choix écologiques immédiatement rentables.
Jeune femme qui indique avec son doigt le logo Espace Aubade

Conclusion : l'hiver 2025-2026, catalyseur de la transition énergétique

L'analyse des tendances tarifaires pour l'hiver 2025-2026 révèle un marché à double vitesse, mais avec une orientation claire :

  • L'électricité est la grande gagnante conjoncturelle, grâce à la baisse du coût d'approvisionnement.
  • Le gaz naturel est confronté à une hausse modérée, renforçant la nécessité de sécuriser son prix.
  • Le fioul est définitivement à bannir pour des raisons économiques et environnementales.
  • Les énergies renouvelables offrent la seule perspective de stabilité et de compétitivité à long terme.

L'année 2025-2026 n'est pas seulement une période de chauffage ; c'est une invitation pressante à accélérer la transition énergétique de l'habitat. Les ajustements tarifaires gouvernementaux visent à équilibrer le financement du système énergétique, mais ils signalent aussi la fin d'une certaine protection et le début d'une ère où la performance du logement et le choix de l'énergie renouvelable deviennent les principaux facteurs de maîtrise du budget. La sagesse commande de privilégier l'investissement dans des solutions durables pour faire face aux incertitudes futures.

Dans la même thématique
Economies de chauffage
Chauffage · 17 septembre 2021

Budget chauffage : comment réaliser des économies ?

Le chauffage représente une dépense importante pour tous les foyers. Selon l’énergie utilisée pour chauffer un logement, la facture peut être plus ou moins élevée chaque mois. De plus, certains facteurs peuvent considérablement augmenter le budget chauffage d’un foyer, tels qu’une mauvaise isolation du logement ou bien encore un mauvais fonctionnement du chauffage dû à un manque d’entretien.

LIRE L'ARTICLE
Chauffage au gaz ou électrique : lequel est le plus économique ?
Chauffage · 30 décembre 2020

Chauffage au gaz ou électrique : lequel est le plus économique ?

Selon l’Insee, l’électricité et le gaz de ville sont les énergies préférées des français. Mais laquelle est la plus pertinente, laquelle vous apportera plus de confort et laquelle permettra de faire des économies sur votre facture énergétique ? Voici quelques éléments de réponse.

LIRE L'ARTICLE
Couple dans une maison qui réalise des estimations
Chauffage · 19 septembre 2025

Comment calculer le budget pour changer son système de chauffage en 2025 ?

Changer son système de chauffage en 2025 représente un investissement conséquent. Grâce à MaPrimeRénov’, au Coup de pouce chauffage et à l’éco-PTZ, il est possible de réduire considérablement le reste à charge. Découvrez les coûts moyens, les plafonds de dépenses et les astuces pour maximiser vos aides tout en améliorant votre confort thermique.

LIRE L'ARTICLE
Laisser un commentaire
champ requis
champ requis
champ requis
Champ requis

Ce site est protégé par reCaptcha et les règles de confidentialité et conditions d'utilisation Google.

Nous utilisons des cookies pour assurer le bon fonctionnement et mesurer l’audience du site internet Espace Aubade. Vous avez évidemment la possibilité de modifier les paramètres afin d’activer ou de désactiver en tout temps chaque catégorie de cookies.
Pour en savoir plus à propos des cookies.
Personnaliser mes choix
Cochez afin d’activer ou désactiver l’utilisation des cookies.
COOKIES STRICTEMENT NÉCESSAIRES

Il s'agit des cookies qui sont nécessaires pour le fonctionnement du site Web et qui permettent que vous soyez en mesure de compléter les services que vous demandez.

Cookies de performance

Ces cookies nous permettent de recueillir des informations sur la façon dont les visiteurs utilisent le site, par exemple pour compter les visiteurs et cartographier comment les visiteurs se déplacent dans le site. Ils enregistrent votre visite sur le site, les pages que vous avez visitées et les liens que vous avez suivis.

COOKIES publicitaires

Ces cookies nous permettent de vous montrer des publicités sur mesure sur des sites tiers, sur la base de l'intérêt pour nos produits et services que vous avez manifesté pendant votre visite sur notre Site Web.